Publié le 13 avril 2021 à 12h00, La Presse, Michel Archambault, Professeur émérite en tourisme, fondateur de la Chaire de tourisme Transat, Université du Québec à Montréal
À l’aube de la présentation du prochain budget de la ministre des
Finances, Chrystia Freeland, le cabinet fédéral annoncera probablement
un important programme d’infrastructures. La construction, dans le
corridor Québec-Windsor, d’une voie réservée à un train à grande vitesse
(TGV) devrait être prioritaire.
Le train est plus écologique que l’auto, le bus et l’avion (ce dernier émet de 30 à 50 fois plus de CO2).
Coïncidence, l’Union européenne a déclaré 2021 « Année européenne du
rail », demandant à ses pays membres de consacrer 70 % des financements
en transport au train plutôt qu’à l’avion ou à l’automobile. Face aux
enjeux des changements climatiques, « la mobilité est la composante du
voyage qui impacte le plus sur l’empreinte carbone… et le train
l’emporte toujours sur l’avion et l’auto pour la protection de
l’environnement » (G. Cromer, etourisme.info, 15 février 2021).
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